Dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 mai, une femme âgée est décédée d'une manière violente dans un Ehpad. Une enquête a été ouverte.
Le Figaro. Il s’agit du premier essai et les contraintes sont nombreuses, mais les résultats semblent encourageants. Avec une autonomie de seulement 20 minutes et une portée d’environ 1 km, le vol est limité. La loi n’autorise pas non plus l’engin à s’élever plus haut que le tablier du pont, mais la SNCF envisage de multiplier ce type d’opérations dans les deux ans à venir.Des progrès à faire« On vérifie que les drones sont capables de détecter les microfissures sur les ouvrages d'art » explique le responsable de l’innovation et de la recherche chez SNCF Infra, Jean-Jacques Thomas. A terme, les drones pourraient également surveiller les caténaires. Les avaries sur les rails en revanche ne peuvent être détectées que par des ultrasons. « Pour les missions de sûreté, telles que la prévention des vols de câbles ou l'intrusion d'individus sur les voies, il faudra attendre au moins trois à quatre ans » explique de son côté Nicolas Pollet, responsable de la mission drones. « À l'heure actuelle, les vols de drones sont interdits la nuit. Or c'est à ce moment-là que sont commis ces actes ».
C’est une première. La SNCF vient de faire voler des drones équipés de caméras au-dessus de son réseau ferré, afin de tester l’utilisation de ces appareils dans la détection des avaries matériel. Ce mardi, la SNCF a lancé un drone sous le viaduc de Roquemaure, qui traverse le Rhône. Mission : l’inspection de l’ouvrage malgré les trains qui défilent toutes les 4 minutes. Repérer les défautsBeaucoup plus petit que les drones militaires (environ trois kilos pour un mètre d’envergure), l’engin envoie ainsi les images directement les écrans scrutés avec attention par l’opérateur, explique